Saint-Emilion sous la Révolution

  • Visite commentée

  • Tarif préférentiel

  • Réservation obligatoire

  • Sur place

  • Tout public

  • Date

    samedi 21 septembre 2024 de 16h à 17h30

  • Office de Tourisme de Saint-Émilion

    Place Pioceau, 33330 Saint-Émilion, France, Gironde, Nouvelle-Aquitaine, France

©Cloé Tourdot Fuentes, Gironde tourisme

Embarquez pour une visite théâtralisée sous la Révolution !

Amis visiteurs :
Bienvenue à Emilion la Montagne ! Madame Bouquey vous présentera sa vie, sa ville à l’époque de la Révolution française et son combat.

Notre girondine vous mènera ainsi des rues et places de la cité à l'église monolithe... cachette des révolutionnaires durant cette période troublée de l’Histoire française.

À la lueur des lanternes, profitez des anecdotes de votre guide costumé et surtout faites attention : les espions sont partout !

Les plus :
• Attention ! Visite dynamique !
• L’histoire mise en scène par Marinette, notre révolutionnaire locale.
• À la fin de la visite, saisissez l’occasion d’acheter l’église Collégiale.
• La visite inclut l'ermitage du moine Emilion, les catacombes et l'église monolithe.
• En raison du parcours escarpé et pavé, cette visite n'est malheureusement pas adaptée aux personnes à mobilité réduite.

Départ de la visite à l'Office de Tourisme - Saint-Émilion
Durée 1h30

Réserver
Informations

Tarif de 20€ par personne. Gratuit - de 6 ans. Tarif réduit jeunes 6/17 ans à 10€ et étudiants, demandeurs d'emplois, personnes à mobilité réduite à 16€. De 1 à 30 personnes. Réservation obligatoire. Conseillée aux enfants à partir de 7 ans.

Office de Tourisme de Saint-Émilion

  • Localisation

    Place Pioceau, 33330 Saint-Émilion, France, Gironde, Nouvelle-Aquitaine, France

  • Téléphone

    05 57 55 28 28

  • À propos

    Vers l'an 733, l'ermite Emilian, venu de Bretagne, rassembla autour de lui un nombre de disciples qui vécurent sous la règle de Saint-Augustin et creusèrent une église monolithe. A la fin du IXe siècle, les Normands ravagèrent ce premier monastère. En 1080, il est aux mains d'un laïc, Olivier, vicomte de Castillon. L'archevêque de Bordeaux engagea ce dernier à abandonner ses droits sur l'église et établit en ce lieu des chanoines qui devaient vivre cloîtrés. En 1110, les moines sont mis sous la règle de Saint-Benoît. L'église monolithe fut abandonnée et une première chapelle construite sur le haut du plateau. Au XIIe siècle, les moines édifièrent une église et des cloîtres, ainsi que des bâtiments conventuels comprenant magasins, celliers, salles d'hôtes, réfectoire, dortoir, cellules, le tout formant le doyenné. De cet important ensemble, seules les ailes sud et ouest sont les plus visibles, l'aile Est étant englobée dans des constructions récentes. Au XVe siècle, le bâtiment fut remonté et percé en façade de fenêtres à meneaux et à frontons triangulaires. Le bâtiment qui servait autrefois au logis de l'abbé, a été entièrement reconstruit au XVIIIe siècle. A l'intérieur, escalier en pierre dont la rampe en fer forgé date de 1744. Une porte à arc trilobé faisait communiquer le cloître et le réfectoire. Le mur Est contigü à la salle capitulaire présente des baies et portes romanes ouvrant sur cette salle. A son extrémité nord, une porte à fronton triangulaire encadrant un arc trilobé donnait accès à la collégiale. Le mur ouest séparait le cloître du logis de l'abbé.

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