Visite de la Villa du Caruhel

  • Complet

  • Visite commentée

  • Thème : Patrimoine architectural

  • Sur place

  • Tout public

  • Monument historique

  • Ouverture exceptionnelle

  • Réservation obligatoire

  • Espace naturel, parc, jardin

  • Château, hôtel urbain, palais, manoir

  • Date

    Visite de la Villa du Caruhel

    7 dates, du 20 sept. 2025 au 21 sept. 2025

    septembre

  • Villa Le Caruhel

    20 rue du Caruhel, 22680, Etables-sur-Mer, Côtes-d'Armor, Bretagne, France

OT de Saint-Quay-Portrieux

Visite de la maison et du jardin japonais
Les façades et les toitures de la maison, construite en 1910, la terrasse et le hall d’entrée, les décors de ferronnerie et de mosaïque ainsi que le jardin japonais, orné d’une cascade, sont inscrits à l’inventaire supplémentaire des Monuments Historiques.

Réserver

Informations

8€ pour les adultes et 5€ pour les moins de 18 ans, gratuit pour les moins de 6 ans

Villa Le Caruhel

  • Localisation

    20 rue du Caruhel, 22680, Etables-sur-Mer, Côtes-d'Armor, Bretagne, France

  • Accès

    se garer rue du Caruhel, puis prendre le chemin de l'impasse à pied.

  • À propos

    Dominant la mer depuis sa lande, la villa s’élève d’abord en 1910 comme un manifeste avant-gardiste. Puis vers 1925, Louis Fricotelle, revenu gazé de la guerre et passionné d’art japonais fait appel à l’architecte parisien Jean de La Morinerie, qui transforme l’édifice : au souffle moderniste initial, il ajoute l’élégance d’un vocabulaire italianisant et ouvre largement les portes aux arts décoratifs, conférant à la villa son caractère unique. : La décoration, d’une rare finesse, s’inspire de l’univers marin : à partir des dessins de Mathurin Méheut, la faune et la flore des profondeurs se déploient sur les ferronneries d’Edgar Brandt et de Raymond Subes, comme dans les mosaïques chatoyantes d’Isidore Odorico. L’ensemble compose un monde sous-marin à la fois réaliste et merveilleux, où l’art dialogue avec la nature. Dans le jardin japonais, une cascade de mosaïques vert émeraude et noir, réalisée vers 1930, serpente entre les rochers. Son éclat coloré évoque les jeux d’eau et de lumière du parc Güell de Barcelone, ajoutant une note de fantaisie et d’exotisme à ce décor déjà foisonnant.

    Autre

    https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee/PA00089146