Construite sur l'emplacement de l'ancienne chapelle de Notre-Dame du Puy, cette église fut commencée en 1779 et terminée en 1780. Après 1791, l'église fut convertie en grenier à foin puis, plus tard, en caserne. Au centre d'une façade nue se développe le motif principal encadrant la porte qui s'ouvrait dans un arc plein cintre mouluré, retombant sur deux sommiers également moulurés. De la porte proprement dite, il ne reste qu'une imposte en bois sculpté portant au centre un oculus. Au-dessus de l'arc se développe un entablement dorique relié à l'arc par une clef de voûte à laquelle se rattache des guirlandes garnissant les écoinçons. L'entablement est supporté par un léger décrochement en saillie de la façade formant pilastre. Au-dessus de l'entablement s'ouvre une baie en plein cintre à encadrement et clef moulurés, flanquée de deux fenêtres à encadrement en retrait.
Conférence : « Marcelle Henry et Violette Szabo, deux itinéraires, deux engagements »
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Date
samedi 20 septembre 2025 de 15h à 16h
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Musée de la Résistance
7 rue Neuve Saint Etienne, 87000 Limoges, France, Haute-Vienne, Nouvelle-Aquitaine, France
Marcelle Henry et Violette Szabo, deux itinéraires, deux engagements
Conférence de Franck Peyrot
Deux itinéraires, deux destins, ceux de femmes engagées dans la résistance. L’intérêt de ces récits croisés réside dans la même volonté farouche de ne pas admettre l’humiliation de la défaite.
Ces femmes entièrement dévouées à la cause de la liberté furent des exemples pour beaucoup d’hommes. L’abnégation, le sens aigu de leur mission fut sans nul doute les seules boussoles d’un quotidien rythmé par les péripéties d’une clandestinité oppressante.
Violette Szabo, héroïne du S.O.E, spécialiste du sabotage, fut parachutée en Limousin en 1944, avec des missions de renseignements, de sabotage et de logistique au profit des alliés. Tombée dans un guet-apens, elle fut déportée à Ravensbrück puis exécutée, peu de temps avant la libération du camp.
Marcelle Henry, ancienne élève du lycée Léonard Limosin, à Limoges, fut, après son arrestation par la Gestapo, condamnée à mort puis déportée, elle aussi, à Ravensbrück puis Buchenwald. Elle mourut d’épuisement peu après sa libération.
Renseignements
Par mail musee.resistance@limoges.fr
Par tél 05 55 45 84 44
Informations
Gratuit.
Musée de la Résistance
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Localisation
7 rue Neuve Saint Etienne, 87000 Limoges, France, Haute-Vienne, Nouvelle-Aquitaine, France
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Site internet
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Téléphone
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À propos
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