Visite d'un abri anti-aérien de la Première Guerre mondiale

  • Gratuit

  • Visite libre

  • Édifice religieux

  • Réservation obligatoire

  • Sur place

  • Tout public

  • Villes et pays d'art et d'histoire

  • Date

    samedi 21 septembre 2024

    Visite d'un abri anti-aérien de la Première Guerre mondiale

    10 dates, le 21 sept. 2024

    septembre

    • samedi 21 septembre 2024 de 10h à 10h30
    • samedi 21 septembre 2024 de 10h30 à 11h
    • samedi 21 septembre 2024 de 11h à 11h30
    • samedi 21 septembre 2024 de 11h30 à 12h
    • samedi 21 septembre 2024 de 14h à 14h30
    • samedi 21 septembre 2024 de 14h30 à 15h
    • samedi 21 septembre 2024 de 15h à 15h30
    • samedi 21 septembre 2024 de 15h30 à 16h
    • samedi 21 septembre 2024 de 16h à 16h30
    • samedi 21 septembre 2024 de 16h30 à 17h
  • Église Saint-Jean

    Place Foch, 55000 Bar-le-Duc, Meuse, Grand Est, France

Ville de Bar-le-Duc

Venez découvrir l’abri anti-aérien de la place Foch, datant de la Première Guerre mondiale, et revivez les moments éprouvants vécus par les Barisiens pendant les attaques aériennes entre 1915 et 1918.

Le départ s'effectuera devant l'église Saint-Jean.

Réserver
Informations

Nombre limité de places.

Église Saint-Jean

  • Localisation

    Place Foch, 55000 Bar-le-Duc, Meuse, Grand Est, France

  • À propos

    Dès le milieu du XIXe siècle, la paroisse Notre-Dame possède une annexe dans le quartier des brasseries, alors en pleine expansion. L’idée de la transformer en église germe en 1869. C’est en 1875 qu’une quatrième paroisse est créée à Bar-le-Duc sous le vocable de Saint-Jean. L’étude du projet a été confiée à l’architecte départemental Charles Demoget, mais ses esquisses pour un édifice néogothique sont controversées. En 1875, la construction de l’église débute sous la direction de Ernest Birglin. Entre 1875 et 1880, seuls l’abside et le transept sont érigés, dans un style mêlant le néo-roman et le néo-byzantin. Ces deux styles se rejoignent notamment dans l’emploi d’arcades et de voûtes en plein cintre et de rosaces aux formes simples. Le chantier est rouvert en 1933 par l’architecte Royer, qui bâtit la nef jusqu’en 1939. L’édifice ne sera finalement terminé qu’après la guerre.

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