Dès le XVe siècle, il est fait mention de la présence au Faubourg Saint-Antoine d'un monastère bénédictin. Au XVIIe siècle, les religieuses de la Pommeraye s'y installent après de nouvelles constructions. La vente des Biens nationaux en 1793 fait mention d'une grande basse-cour intérieure avec colombier de pied. Rachetée en 1852 par l'abbé Sicardy, l’abbaye Saint-Antoine-lès-Sens est réaménagée pour l'installation des sœurs de la Providence qui fusionneront avec les sœurs de la Charité de Nevers en 1959.