Conférence : Les voix du chemin de fer en Tarn-et-Garonne

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  • Gratuit

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  • Sur place

  • Tout public

  • Handicap moteur

  • Publics empêchés

  • Réservation obligatoire

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  • Archives départementales de Tarn-et-Garonne

    14 avenue du 10e Dragons, 82000 Montauban, Tarn-et-Garonne, Occitanie, France

©AD82 - 42J

Entretien témoignage avec Jean-Paul Marion (historien local) et Jean-Claude Lacombe (cheminot). Modération par Jérôme Cras et Johan Bories.

Nichée dans les méandres de la vallée de l’Aveyron, la ligne de chemin de fer Montauban-Lexos n’a, en moins d’un siècle d’existence, jamais tout à fait trouvé sa voie. Entre activités économiques, sociales et culturelles, Jean-Paul Marion nous conte l'histoire d’une infrastructure à l'échelle départementale, émaillée de nombreuses anecdotes. En regard de cette épopée à travers le temps et l’espace, le rail se vit aussi à travers le témoignage de nos contemporains. Jean-Claude Lacombe, tout à la fois acteur et témoin, nous éclaire sur la réalité d’un monde ferroviaire en mouvement perpétuel. De l’avènement de la grande vitesse, en passant par l’évolution des métiers du rail, sans oublier les luttes sociales menées sirènes hurlantes, nous revêtons le temps d’une correspondance le riche habit des cheminots.

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Accessibilité

  • Handicap moteur
Informations

Gratuit. Réservation obligatoire. Limité à 50 personnes.

Archives départementales de Tarn-et-Garonne

  • Localisation

    14 avenue du 10e Dragons, 82000 Montauban, Tarn-et-Garonne, Occitanie, France

  • À propos

    Les archives départementales sont installées depuis 1902 dans une ancienne école normale construite entre 1875 et 1877 à l'initiative du conseil général. Le caractère rectiligne de l'édifice est égayé par une alternance de lits de pierres et briques, inversés d'un niveau à l'autre. Une partie des locaux (aile occidentale) est cependant réservée de 1905 à 1927 au service des enfants assistés, puis, jusqu'en 1978, au dispensaire antituberculeux. À la fin des années 1950, une vague de travaux modernise les archives en y installant des structures autoporteuses et des rayonnages métalliques. En 1978, les archives investissent la dernière aile du bâtiment, après le départ du dispensaire.

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