Jeu d’enquête : « Les révoltés d’Aniane »

  • Atelier / Démonstration / Savoir-faire

  • Adulte

  • Gratuit

  • Sur place

  • Édifice religieux

  • Monument historique

  • Réservation obligatoire

  • Lieu de pouvoir, édifice judiciaire

  • Date
  • Abbaye d'Aniane

    50 boulevard Félix Giraud, 34150 Aniane, Hérault, Occitanie, France

©Nicolas Postal

28 août 1937, plusieurs prisonniers de la maison d'éducation surveillée d'Aniane s'échappent, créant la panique dans la ville du Sud de la France. Fort heureusement les fuyards ont été interceptés et reconduits en cellule. Mais vous, journalistes, souhaitez en savoir plus.
Vous êtes parvenus à convaincre les gardiens de vous laisser fouiller durant quelques dizaines de minutes les chambres de ceux identifiés comme chefs des mutins. Mais votre investigation ne sera pas simple. Les informations recherchées sont dissimulées et protégées.
À vous, enquêteurs, de décoder les messages, d'ouvrir les cadenas scellant les portes et autres coffres pour réunir les informations qui vous mèneront à la vérité.

Réserver
Informations

Gratuité exceptionnelle. Réservation obligatoire, 6 places par session. À partir de 14 ans.

Abbaye d'Aniane

  • Localisation

    50 boulevard Félix Giraud, 34150 Aniane, Hérault, Occitanie, France

  • Téléphone

    07 67 67 16 71

  • À propos

    Située au cœur de la vallée de l'Hérault, l'abbaye d'Aniane a traversé douze siècles entre grandeur et vicissitudes. Au VIIIe siècle, saint Benoît d'Aniane fonde son abbaye. Contemporain de Charlemagne, il conseille son fils, Louis le Pieux. Grâce à une alliance avec le pouvoir laïc, son abbaye est à l'origine d'une réforme de la règle bénédictine qui rayonne dans toute l'Europe médiévale. Après les destructions des guerres de Religion, la congrégation de Saint-Maur, souhaitant restaurer la grandeur passée d'Aniane, reconstruit un majestueux monastère classique aux XVIIe et XVIIIe siècles. Vendue comme bien national pendant la Révolution française, l'abbaye est transformée en filature, puis en prison en 1845. Elle accueille une population d'adultes, puis ultérieurement de mineurs délinquants. L'institut spécialisé d'éducation surveillée ferme finalement en 1994, et le site subit des dégradations et des pillages durant une dizaine d'années d'abandon. En 2010, la communauté de communes vallée de l'Hérault rachète le monument et met en place une politique de valorisation de ce bâtiment classé au titre des Monuments historiques.

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