Visite commentée par Madame LAVIGNE-LOUIS, directrice honoraire du Pré-Inventaire des mouments et r…

  • Gratuit

  • Sans réservation

  • Visite commentée

  • Château, hôtel urbain, palais, manoir

  • Sur place

  • Tout public

  • Monument historique

  • Date

    dimanche 22 septembre 2024 de 15h à 16h

    dimanche 22 septembre 2024 de 16h30 à 17h30

  • Château de Montbloy

    16, montée du château, 69210 Sain-Bel, Rhône, Auvergne-Rhône-Alpes, Rhône, Auvergne-Rhône-Alpes, France

©CASOLI

Le château de Montbloy à Sain Bel, édifié au 12ème siècle était un des châteaux de défense de l'abbaye bénédictine de Savigny. Il devient au 15ème siècle la luxueuse demeure des abbés. Charles VIII y coucha le deuxième jour de mars 1489. Au cours des siècles, il subit de nombreuses modifications. Il fut vendu comme bien national à la Révolution, et racheté vers 1840 par le soyeux Pierre Bariou qui y instala ses métiers à tisser. Ses descendants en sont toujours propriétaires. Le monument a été inscrit a l'Inventaire Supplémentaire des Monuments historiques en 2001.

Château de Montbloy

  • Localisation

    16, montée du château, 69210 Sain-Bel, Rhône, Auvergne-Rhône-Alpes, Rhône, Auvergne-Rhône-Alpes, France

  • Accès

    Parking

  • À propos

    Le château de Sain-Bel a été fondé vers 1190 par l’abbaye bénédictine de Savigny sur la colline de Montbloy, en face de l’église paroissiale de Sain-Bel et du village qui l’entourait, sur l’autre rive du Trésoncle. Par la suite, les habitants ont abandonné la colline de l’église pour se regrouper au pied du château dans un bourg fortifié. Le château contrôlait l’accès à l’abbaye depuis la vallée de la Brévenne et administrait un territoire comprenant tout ou partie des paroisses de Sain-Bel, Saint-Pierre-la-Palud, Sourcieux et Chevinay. Le château de Montbloy à SAIN BEL édifié au 12e siècle était à l'origine un des châteaux de défense de l'abbaye bénédictine de SAVIGNY. Il devient au 15e siècle la luxueuse demeure des abbés. Charles VIII y coucha le 2e jour de mars 1489. Au cours des siècles, il subit de nombreuses modifications. Il fut vendu comme bien national à la révolution, puis racheté vers 1840 par le soyeux Pierre Bariou qui y installa ses métiers à tisser. Ses descendants en sont toujours propriétaires. Le monument a été inscrit à l'inventaire supplémentaire des Monuments Historiques en mars 2001.

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