Visite libre du site des Douves

  • Visite libre

  • Gratuit

  • Sur place

  • Tout public

  • Monument historique

  • Espace naturel, parc, jardin

  • Patrimoine mondial de l'unesco

  • Château, hôtel urbain, palais, manoir

  • Date
  • Les Douves - Site de l'Ancien Château

    7 rue de l'Écrevissière, Onzain 41150 Veuzain-sur-Loire, Loir-et-Cher, Centre-Val de Loire, France

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Visite libre du site des Douves

Les Douves - Site de l'Ancien Château

  • Localisation

    7 rue de l'Écrevissière, Onzain 41150 Veuzain-sur-Loire, Loir-et-Cher, Centre-Val de Loire, France

  • Téléphone

    02 54 20 82 66

  • À propos

    Le domaine des Douves, d’une superficie de près d’un hectare en centre bourg, occupe l’emplacement d’un ancien château détruit par la célèbre « bande noire » entre 1823 et 1826. Il subsiste la plate-forme castrale (de 2000m²) entourée de ses douves en eau (d’environ 5000 m²). Un jardin bordé de murs, situé entre les douves et le ruisseau du Cissereau, complètent cet ensemble au charme indescriptible. Ce site à l’emplacement stratégique, en bords de Loire et à la frontière du blésois et de l’Anjou-Touraine, était déjà très probablement occupé en l’an 1000. L’autre importante campagne de construction, qui a donné à la plate-forme castrale ses dispositions définitives, est due à Anne de Polignac et son époux Francois II de la Rochefoucault qui mènent de front la reconstruction d’Onzain et de La Rochefoucault (Charentes) durant le deuxième quart du XVIe siècle. Ils ne conservent du château d’Hélion de Neillac que la grosse tour maîtresse, symbole du pouvoir féodal. A la fin de l’Ancien Régime, les propriétaires se succèdent très rapidement. Destruction du château et lotissement de nombreuses parcelles s’accélérèrent dans la décennie 1820 et les rues desservant les nouvelles habitations furent créées en 1841. Henri Dubin fit construire la maison occupant le centre de l’îlot des Douves vers 1845. Enfin, au XXe siècle le domaine connu une certaine renaissance grâce aux soins attentifs et au goût très sur de l’antiquaire Georges Viallet (1958-1997).