Diaporama sur l'architecture du prieuré Sainte-Bathilde

  • Gratuit

  • Projection

  • Handicap moteur

  • Handicap auditif

  • Sans réservation

  • Handicap psychique

  • Publics empêchés

  • Édifice religieux

  • Handicap intellectuel

  • Sur place

  • Tout public

  • Architecture contemporaine remarquable

  • Date

    samedi 21 septembre 2024 de 14h30 à 18h

    dimanche 22 septembre 2024 de 14h30 à 18h

  • Prieuré Sainte-Bathilde

    7 rue d'Issy, 92170 Vanves, France, Hauts-de-Seine, Île-de-France, France

© Bénédictines de Vanves

Diaporama pour découvrir l'architecture du prieuré et permettre de mieux apprécier la visite.

Age

de 0 à 99 ans.

Accessibilité

  • Handicap intellectuel
  • Handicap auditif
  • Handicap psychique
  • Handicap moteur
Informations

Entrée libre.

Prieuré Sainte-Bathilde

  • Localisation

    7 rue d'Issy, 92170 Vanves, France, Hauts-de-Seine, Île-de-France, France

  • Accès

    Métro 12 station Corentin Celton - Bus 126-189 arrêt Place du Mal de Lattre de Tassigny - Bus 394 (sauf dimanche) arrêt Rosier Rouge - Bus 58 arrêt Lycée Michelet.

  • Téléphone

    0146424620

  • À propos

    La communauté des bénédictines missionnaires, fondée en 1921 par soeur Bénédicte Waddington-Delmas, s'installe en 1928 à Vanves. Un premier projet est commandé aux frères Perret, qui réalisent seulement un bâtiment sur la rue d'Issy. Le chantier du monastère confié finalement au moine bénédictin et architecte Dom Bellot, reprend en 1934. Celui-ci conçoit un édifice de quatre niveaux pour quatre-vingt religieuses et quarante hôtes à l'origine, qui reprend le plan traditionnel des bâtiments conventuels en ailes organisées autour d'un cloître. Les bâtiments sont construits en béton et brique, matériau caractéristique de l'architecture de Dom Bellot. Les poutres de béton sont laissées apparentes tandis que les arcs d'ogives ou de plein cintre, présents dans de nombreuses parties du monastère sont revêtus de briques. Ces dernières sont aussi utilisées comme élément de décor des parois dans un jeu polychrome alternant noir, jaune et différentes teintes de rouge. Ce type de motifs géométriques colorés est également employé pour les toitures de tuile et les sols en céramique. L'église, à l'est du cloître, est constituée d'une suite d'arcs paraboliques supportant une fausse voûte en panneaux de béton préfabriqués et colorés. L'autel est placé à la croisée du transept, délimitant l'espace des moniales et celui de l'assemblée (séparée à l'origine par une grille en fer forgé). La salle capitulaire, servant actuellement de réfectoire, est de forme octogonale couverte d'arcs retombant sur un pilier central. La galerie du cloître donnant sur un jardin intérieur est fermée de vitraux aux teintes orangées, en harmonie avec les autres matériaux. Le monastère achevé en 1936, est alors l'objet de publications dans La Construction moderne.

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